Quel joli mois de mai ! C'est le printemps et mes hormones se réveillent, mes fantasmes aussi. Ce dont je rêve c'est de rencontrer un couple. Voilà comment ça se passerait. Apellons-les Francis et Isabelle...

En montant les escaliers j'avais comme une appréhension. Certes, Isabelle avait tentée de me rassurer mais mon coeur battait la chamade à l'approche de la porte. Je sonnais. Isabelle m'ouvrit. Elle était brune, les cheveux longs défaits. Elle me fit entrer. Je lui fis la bise. Elle me présenta son mari Francis. Mon coeur battait toujours aussi fort mais j'étais heureuse de rencontrer des gens aussi charmants. Lui était beau gosse, le mètre quatre-vingt passé, des yeux bleus perçants.
Ils avaient bien fait les choses. Un petit gateau au chocolat nous attendait au salon sur la petite table placée devant le canapé. J'avais apporté un sac de sport avec moi pour me changer. Nous avons pris un peu de temps pour briser la glace, pour évoquer nos passions communes. Cela ne dura guère que cinq minutes après quoi Isabelle me proposa d'aller me changer dans la salle de bains, chose que je fis sans rechigner. Je suis plutôt docile pour ce genre de choses...
Je mis donc un petit ensemble de saison, une robe rouge légère et un string de la même couleur en-dessous. Un petit coquelicot s'est empressé de dire Francis. Je me suis un peu maquillée, un rouge à lèvre discret, un peu de fond de teins. J'ai bien sûr fini par enfiler ma perruque brune, celle dont les cheveux sont mi-courts. Isabelle m'assistait. Je suis ensuite sortie de la salle de bains. Francis était tout excité et m'a demandé de lui lêcher le gland. Je lui ai donc déboutonner son jean et j'ai pris de ma pleine main gauche son organe le plus précieux. Pendant ce temps, Isabelle ne perdait pas une miette du spectacle et commençait à se toucher. Je mis en ensuite le précieux objet dans la bouche. Il était grand et large, j'en pris un plaisir fou, mes pommettes se pamèrent d'un rouge naturel et éclatant.
J'étais toujours à pomper lorsque Isabelle passa derrière mon dos. Je me retournais. Elle m'enfila un de ses long doigt dans mon anus, déclenchant chez moi un râle de plaisir. Après quelques aller-retour, elle mis le deuxième doigt. Je ne perdis pas le fil de mon action sur Francis. Celui-ci voulu que je mette fin au supplice sous peine d'éjaculation. Les deux époux inversèrent les positions. Monsieur vint derrière alors que madame exigea un cunnilungus. Je m'éxecutais poliment et même goulûment. Je rentrais ma langue à plein dans le clitoris déclenchant cette fois-ci les encouragements de madame. Pendant ce temps monsieur me prit, d'abord tout doucement puis de plus en plus vite. j'en eu presque le souffle coupé. J'en criais de plaisir. Lorsque madame eut jouit, monsieur me demanda de le sucer complètement. Je ne pus refuser cette invitation. Je le fis sans hésiter. Un flot immense déferla dans ma bouche et sur mon visage radieux...