Ce jour-là, je me suis dit pourquoi pas. Pourquoi ne pas lui accorder une chance ? Sébastien était certes petit, 1m70 mais après tout peut-être qu'il compensait sa taille modeste par des qualités physiques hors-normes. Nous nous étions donnés rendez-vous vers 14 heures le mercredi après-midi, seul moment de la semaine où lui et moi étions libres. Il portait un veston gris et un jean noir d'ailleurs assez élégant. De mon côté j'avais mise mon haut rose sans manche et ma jupe blanche nacrée de petites fleurs. J'avais pris aussi mes bottes noires dont je ne me séparais plus de tout l'hiver.

Je dois dire qu'il ne perdit pas de temps. Il n'y avait pas cinq minutes que nous étions installés qu'il commença à me peloter. Des petites mains aux seins et aux fesses, chacun séparément et à des moments différents... Il s'aventura plus avant en me mettant un doigt dans les fesses. Je poussai alors un gémissement de satisfaction.

- Tu ne perds pas de temps lui dis-je.

- Jamais, c'est une question de principe.

Joli principe que voilà, pensai-je... Mais je me laissai faire. Après tout j'étais consentante... Dix minutes plus tard, il avait déjà tout enlevé. Moi j'avais tout gardé, sauf ma culotte. Auparavant, je lui avait ouvert la bringuette et je l'avais branlé un peu. Puis ma bouche s'était retrouvé, on ne sait comment, en train de lécher son gland, devenu rouge incandescent. Sa bite n'était pas très impressionnante, ni large ni très longue. J'en fus un peu déçue mais j'attendis la suite avec quand même beaucoup d'impatience...

Après cette petite mise en bouche, il avait tout enlevé, révélant une musculature assez impressionnante. De plaisir je lui léchai le torse. Lui me remis un doigt dans les fesses. Il y mit deux minutes plus tard sa queue. J'émis un deuxième gémissement... Il me chevaucha ainsi pendant plusieurs minutes. J'avais l'impression d'être une jument et lui mon cow-boy. Dans un dernier sursaut, il éjacula...